Barcelone et le cinéma

La ville brûlée, Antoni Ribas (1976) : de 1899 à 1990, Barcelone est au cœur de grands événements tragiques. Bouleversant.

Nous sommes et nous serons, Jordi Feliu (1982) : des documents photographiques et cinématographiques retracent six siècles d’histoire et de lutte pour l’autonomie du peuple catalan.

La forge d’un rebelle, Mario Camus (1994) : de son autobiographie, Arturo Barea Ogazón fait une arme. Celle de quelqu’un qui ne se rend pas. Vaincu, banni et malade, il ne cesse de lutter, convaincu que son action peut modifier le cours de l’histoire récente. Un téléfilm disponible en vidéo.

En toile de fond
Tout sur ma mère, Pedro Almodóvar (1999) : après dix-sept ans passés à Madrid, Manuela revient à Barcelone pour annoncer à son ex-compagnon Estebán rebaptisé Lola, que leur fils est mort. Au hasard des rues, elle retrouve des figures de son passé. Des êtres qui jouent la comédie pour déjouer la tragédie humaine de cette fin de siècle.
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Des faits de société
Actrices, Ventura Pons (1996) : pour tenir le rôle d’une actrice décédée, une jeune comédienne décide de rencontrer trois de ses amies interprètes. Partagées entre grandeurs et misères du métier, de la célébrité et de l’oubli. A Barcelone ou ailleurs.

Kafka en Catalogne
Un papillon sur l’épaule, Jacques Deray (1978) : à Barcelone, un homme enfermé à tort dans une clinique asile s’en échappe par miracle. Lorsqu’il veut y retourner avec la police, l’établissement est vide mais il y trouve un cadavre. Rêve ou cauchemar ? Kafka à Barcelone et le plus grand rôle de Lino Ventura.